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LES RELATIONS ET LA COOPERATION AVEC LE CLIENT

La transparence, la confiance et la loyauté mutuelles

L’objectif commun étant la résolution du cas, le Client doit communiquer à son Conseil toutes les informations connues et tous les documents en sa possession, sans réticence aucune et sans présélection partisane.

Il ne s’agit pas de présenter un « bon dossier » mais le dossier, le plus objectivement possible, avec ses points forts et aussi ses points faibles, pour permettre au Conseil d’établir un bilan et un diagnostic corrects.

Autrement dit, il ne faut pas que la stratégie adoptée en commun à la suite de l’analyse des éléments fournis puisse être remise complètement en cause à la suite de la production par l’adversaire de pièces changeant radicalement la face du problème.

En un mot, l’intérêt du Client est de « jouer cartes sur table » avec son Avocat, notamment pour bénéficier d’un avis approprié.


L'indépendance et la distanciation professionnelle du Cabinet

¤ Le Cabinet n’épouse pas la cause et les idées de son Client

Maître Alix BELLACHE entend avoir un regard critique à l’égard de la position de son Client et se mettre plutôt dans la peau de l’adversaire et du juge, toujours dans un souci d’efficacité.

Cette indépendance et ce recul, par essence et par éthique, ne nuisent pas à la conviction mais rendent au contraire l’Avocat davantage crédible.

Bien plus, sa mission première étant le conseil, Maître Alix BELLACHE se doit si nécessaire de réfréner les ardeurs procédurières et belliqueuses de son Client.

Le double précepte affiché par Maître Denis TALON, sous la photo d’un samouraï et dans son Cabinet parisien, est judicieux :

  • « Un Maître sait éviter les combats inutiles. » ;

  • « Avant de prouver que vous avez raison, votre Avocat peut vous éviter d’avoir tort. ». 


¤ Sauf exception, le Cabinet ne reprend pas à son compte les pures allégations de son Client

En principe et surtout en matière civile, le Cabinet évite de relayer dans ses écritures et plaidoiries des assertions non étayées par un élément de preuve.

L’exposé d’affirmations gratuites n’est pas seulement inutile mais dessert la cause à défendre et nuit à la réputation de l’auxiliaire de justice qui s’en fait le héraut.


¤ Le Cabinet ne travaille pas comme « système-expert »mais sur pièces

Pour prodiguer avis et conseils, Maître Alix BELLACHE se fonde sur son propre diagnostic et non sur celui effectué par son nouveau Client lui-même ou un tiers.

Ainsi qu’il le répète à l’envi, « S’il suffisait de connaître les règles de droit pour être bon juriste ou bon avocat, les meilleurs médecins seraient les pharmaciens. ».

Le Justiciable n’est pas un consommateur qui choisit ses produits sur le marché après avoir établi son menu.

Comme les affections psychosomatiques, les maux juridiques nécessitent un examen clinique approfondi : quel est le problème ? A quel domaine juridique ressortit-il ? Quelle est la juridiction compétente pour délivrer le remède magistral extemporané ?

L’établissement du diagnostic juridique est une opération complexe qui fait appel à des méthodes, analyses et raisonnements qui ne s’apprennent ni dans les livres ni à la consultation du Journal Officiel ou d’un quotidien gratuit.


La synergie par une répartition bien comprise des tâches

Le dicton « A chacun son métier et les vaches seront bien gardées. » reste plus que jamais d’actualité.

Le Client apporte les éléments bruts : les faits, les pièces et les explications.

Son Avocat sélectionne, hiérarchise, interprète, décide et propose.

Le respect de ce schéma par chacun de ces deux Partenaires est gage d’efficacité.


La gestion raisonnée du temps

¤ La modération dans l’usage du téléphone

Le lot quotidien de l’Avocat consiste à triturer les faits et travailler sur pièces, ce qui nécessite du temps, du calme et de la réflexion.

Il est donc contreproductif pour sa propre cause de l’assaillir à longueur de journée ou à la dernière seconde de coups de téléphone dérangeants, fortement chronophages et qui n’apportent rien de concret.

L’Avocat perd déjà trop de temps et d’énergie aux audiences pour ne pas encore être pénalisé à son Cabinet.

Malgré cet avertissement franc, Maître Alix BELLACHE est très à l’écoute de sa Clientèle et s’efforce d’être très réactif mais, le plus souvent, les moyens de communication autres que le téléphone sont suffisants et plus productifs : courriels, fax, plis postaux.

¤ La nécessaire réactivité

La réactivité intéresse également le Client qui doit communiquer les éléments et explications et observations sollicités le plus vite possible à son Conseil.

Soumis sans arrêt à la pression du Juge qui lui impose des délais, l’Avocat ne peut user son temps à relancer son Client pour obtenir les pièces nécessaires au soutien de la cause.


¤ L’avis critique du Client sur les actes et écritures établis dans ses intérêts

S’agissant notamment des écritures, Maître Alix BELLACHE a l’habitude de les soumettre a posteriori, c’est-à-dire après dépôt au greffe de la juridiction concernée, à l’appréciation du Client.

Ce système, imposé par diverses contraintes, présente des avantages et, à l’expérience, pas d’inconvénient.

Les délais de rigueur font que l’Avocat est souvent obligé de déposer des écritures avant d’avoir pu les soumettre à son Client.

L’absence de l’avis préalable du principal Intéressé ne peut plus en principe, depuis la réforme procédurale de décembre 1998, entraîner de conséquences fâcheuses :

  • désormais et sauf question d’exception de procédure devant être soulevée avant tout autre point dans les conclusions, le Juge ne lit plus que les dernières écritures, chaque jeu de conclusions antérieur étant réputé « écrasé » par le suivant ;

  • ce mode des conclusions avec reprise improprement qualifiées d’écritures « récapitulatives » s’est répandu même devant les juridictions où il n’est pas obligatoire : tribunal d’instance, tribunal de commerce.. ;

  • dans ce contexte, une imprécision ou une erreur de l’Avocat dans l’exposé des faits est aisément rattrapable.


L’avantage de la lecture a posteriori est que le Client peut exercer son regard critique à froid et sans précipitation et dispose d’un temps suffisant pour faire part à son Conseil de ses observations dont il sera tenu compte dans les nouvelles écritures.

Incidemment et concernant l’argumentation juridique, Maître Alix BELLACHE ne reprend pas à son compte les moyens manifestement peu sérieux proposés par le Client, Particulier ou même « Institutionnnel » spécialisé, mais il s’en explique alors.

Et si le Client insiste, Maître Alix BELLACHE intègre dans les prochaines écritures l’argumentation litigieuse mais informe son Interlocuteur que ladite argumentation risque notamment d’affaiblir les moyens principaux.



VALEURS

- Objectifs affirmés
- Relations avec le client



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